C'est un art martial français, créé en 1973 par Monsieur Gilles PERRIER, professeur d'éducation physique et sportive, professeur d'Arts Martiaux.

Les pratiques de ces  différentes disciplines le laisse insatisfait. Il souhaite échapper à la compétition et conserver l'efficacité des arts martiaux dans un cadre moral et éducatif explicite, où l'entraide et le dévouement sont valorisés.

La méthode d’enseignement repose ainsi sur le développement de trois axes : gymnastique préventive et de santé (assouplissements, postures, respiration, concentration), self-défense issue de la synthèse de plusieurs arts martiaux (Aïkido, karaté, boxe française, lutte, judo...) et conseils de secourisme.

Ces constatations l'ont amené à créer l'Aïki-Taï-Dô. En Aïki-taï-dô, il n'y a pas de compétition, chacun progresse à son rythme.

Les kanjis  (écriture japonaise) signifient :

    Aï : L’union

    Ki : l’esprit

    Taï : le corps

    Dô : la voie, la façon d’être

    ​

« La voie de l’union de l’esprit et du corps »

​La méthode

L’originalité de la méthode repose sur une trilogie, respectée à chaque entraînement et qui se développe selon trois axes suivants :
1. Gymnastique préventive et de santé : – assouplissements – postures – respiration – concentration.

2. Self-défense, issue de la synthèse de plusieurs arts martiaux : notion légale de légitime défense d’où riposte proportionnelle à l’agression (code pénal), techniques de : – frappes style karaté et boxe française, – clés style aikido,- défenses rapprochées style judo et lutte,- utilisation de ko-budo (bâton court ou long, canne, sabre, tanto, nunchaku, tonfa etc…).

Il n’y a pas de compétition, pas d’apprentissage de coups mortels mais une étude poussée des points vitaux très douloureux qui ne provoquent pas de lésions irréversibles.

3. Conseils de secourisme : – notion légale d’assistance à personne en danger, devoir moral à l’issue desquels les pratiquants sont encouragés à obtenir l’AFPS auprès des organismes compétents.

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